Bienvenue sur Topo Bleau...

Le site Topo Bleau est uniquement dédié à la pratique de l'escalade organisée autour des circuits et dont la présence est permise officiellement par l'ONF en forêts domaniales et départementales, ou tolérée depuis très longtemps, comme dans les massifs en terrains privés tels qu'à la Padole. Mais, comme c'est aussi un site bavard, en plus des informations générales sur les sites et les circuits, vous trouverez également de nombreux articles singuliers sur l'histoire et la culture dite bleausarde, ainsi qu'une présentation des ouvrages publiés sur la forêt de Fontainebleau


Bleau en lettres : dernier article paru en janvier 2025.

Escalade, le coût de l'addiction

Connaissez-vous la revue virtuelle Vertige Médias dans lequel apparait des articles « qui donnent à réfléchir », comme ça été le cas avec deux d’entre eux, titrés : Gentrification de la grimpe et Tarifs des salles d’escalade dont certaines affirmations me semblent à considérer avec prudence, c’est-à-dire à ne pas prendre comme argent comptant, car elles collent mal avec les réalités sociologiques de l’escalade telles que les vieux grimpeurs comme moi ont pu les vivre et les observer depuis qu’ils grimpent :  réalités dont je souhaite témoigner ici et qui peuvent se vérifier facilement. En effet, ça fait cinquante ans que je pratique l’escalade assidûment, et ce dont j’ai pu me rendre compte, c'est que l’escalade est un sport passionnant qui exige qu’on y consacre beaucoup de temps et des sous : c’est le coût de l’addiction...

Suite de l'Article.

CULTURE CIRCUITS

Bleau en chiffres : dernier article paru en mars 2025.

Drei Zinnen - Quoi de neuf ?

Du neuf, justement.

En avant propos, il faut savoir que créer un circuit est toujours une action marquante, surtout si l’on a mis toute sa sensibilité et son intelligence, sans vouloir jouer du grand violon qui a le pouvoir de propager des ondes délicieuses loin dans l’épiderme. C’est simplement un fait. Bien que cela soit un vécu modeste, ce type d’actions ne s’oublie pas aussi bien que les centaines de journées de travail dont on sait qu’on a vécu, mais qui semblent ne pas avoir été assez riches pour dissimuler la mémoire à long terme. Heureusement qu’il y a les fiches de paye pour témoigner de tout ce temps sans vécu apparent durant lequel on a produit des choses pour lesquelles on a reçu des sous pour vivre bien dans les normes de la société...

Suite de l'article.